Quelque Part dans Paris...
Le 21 juin 2009.


Dernières Lueurs du Jour le Plus Long de l'Année.



Au Père Lachaise.


Quelque Part dans Belleville...


Pause Croissant.


Privée.


Mon Chien Stupide.
Quelque Part dans Paris...
Le 20 juin 2009.

Nez à Nez avec le Concorde.


Galerie Vivienne.


Passage des Princes.



Quartier de la Défense.

Quelque Part dans Paris...
Le 20 juin 2009.
Lever 4h40, coucher 00h00.


L'heure Bleue.


Ile de la Cité.


Notre Dame.


Collège des Bernadins.
Quelque Part dans Paris...
Le 18 juin 2009.


Acis et Galathée, Fontaine Medicis.
Jardin du Luxembourg.


La Liberté Eclairant le Monde.
Jardins du Luxembourg.
Le véritable modèle en bronze qui servit à Augusto Bartholdi (1834 - 1904) à réaliser la statue de la Liberté de New-York se trouve dans la partie ouest des jardins.


La Fontaine des Quatres Parties du Monde : Les Chevaux Marins.

Visite au Royal Naval Museum.
Portsmouth, UK, 14 Juin 2009.

Le HSM Victory.
Pour de nombreux visiteurs, Portsmouth, c'est avant tous 800 ans de tradition en tant que principal arsenal de la Royal Navy. On peut y visiter le HSM Victory, sur le pont duquel une petite plaque marque l'endroit où tomba le plus grand amiral de l'histoire, Lord Nelson, alors qu'il menait les Anglais vers la victoire durant la bataille de Trafalgar en 1805.


Un Nouvel Ecrin pour le Mary Rose.
Navire emblème du roi Henry WIII, le Mary Rose coule lors d'une bataille contre la flotte française le 19 juillet 1548. Remontée du fond en 1982 à l'issue d'un des plus ambitieux projets archéologiques jamais réalisés, la coque du Mary Rose entame sa seconde vie sous atmosphère contrôlée et sous le flot d'une solution de cire protectrice. A côté, dans le Mary Rose Museum, les visiteurs peuvent se faire une idée de la vie à bord du vaisseau-amiral d'Henry VIII, présentée de manière vivante à travers les armes et objets personnels et divers conservés pendant 450 ans dans la vase du Solent.


Table 16.
Le long de la base navale, le HSM Warrior, premier cuirassé de la Navy et à l'époque le plus gros, le plus rapide et le plus puissant navire de guerre jamais construit. Sa visite donne un aperçu de la vie à bord à l'époque où il faisait la fierté de la marine de la reine Victoria.

Surprenante Nantes.
6-7 juin 2009.


Ce week-end à Nantes, une meute de loup a investit les douves du château des Ducs de Bretagne...


Tandis que la Petite Géante déambulait dans les rues du centre ville...



A la rencontre de son oncle, le Géant...


Tandis que des moineaux montaient un groupe de rock, place du Bouffay...


Et qu'une forêt d'arbres bleus tout droit sortis de l'Erdre, s'empressaient Cours des Cinquante Otages ...


Et pendant ce temps là, non loin de toute cette agitation, la promotion de l'année coulait des heures tranquilles au Jardin des Plantes.

A Bord du London Eye.
Londres, le 30/05/09.

La Tour Saint Stéphane, L'horloge Big Ben et l'Abbeye de Westminster.
Il fait beau et chaud aujourd'hui à Londres. Nous en profitons pour faire découvrir Londres à un ami venu nous rendre visite à bord du London Eye.


Vol Standard.
Nous embarquons à bord de l'une des 32 capsules qui composent la grande roue. A côté du vol standard, il est possible d'effectuer un vol au champagne en cabine privative. La durée du vol est de 30 minutes.
Pearl Shopping in Beijing.


Le Destin Tragique de l' Huitre Perlière.
Avant de commencer une vie mondaine, les perles doivent patienter jusqu'à 6 ans au fond d'un lac enfermées au sein d'une coquille d'huitre. La Chine est le premier producteur au monde de perle d'élevage d'eau douce. Une huitre peut ainsi produire jusqu'à 40 perles. La chair de l'huitre est jetée. La coquille est transformée en nucléus qui serviront à produire de perles d'eau de mer.


Un Nouveau Départ.
La visite d' un magasin de perle fait partie des circuits touristiques proposés. Devant écoulé un stock important de marchandise, les tactiques de ventes sont très agressives. La nuée de jeunes vendeuses qui vous accueillent sont en mission : vous aserler jusqu'à ce que vous craquez pour des colliers, boucles d'oreille, bagues et autres accessoires à base de perles.


Les Emaux Cloisonnés de Pékin.

Le cloisonné est une technique de fabrication de bijoux, vases et autres objets de décoration en émail. Les objets fabriqués selon cette technique sont aussi appelé cloisonné.


L'artisan donne d'abord une forme désirée à une plaque de cuivre rouge pour former le fond. On pose alors dessus, avec une pincette, des fils ou des bandes de cuivre : c'est le « cloisonnage » qui constitue les traits du dessin. Les fils et bandes adhèrent au fond grâce à une colle à base de racines de plante.


Une pâte d'émail de couleurs diverses est sertie entre les cloisons au moyen d'une pipette. Après aspersion, on verse au tamis un mélange de poudres d'argent, de cuivre et de borax sur l'ouvrage avant de soumettre celui-ci à un petit feu.


Plusieurs cuissons sont nécessaires, tous les colorants n'ayant pas le même point de fusion, et on doit appliquer plusieurs couches de colorants pour obtenir l'effet désiré.


L'ouvrage est ensuite poli avec une pierre meulière et du charbon de bois. Le polissage amène l'arasement de l'émail et des cloisons. On plonge après l'article dans une solution d'or où passe un courant électrique. On obtient ainsi un ouvrage où l'éclat du métal ne cède en rien à celui de l'émail.


La Cité Interdite, Palais Impérial des Dynasties Ming et Xing.


Porte du Midi.
La Cité Interdite ne l'est plus. C'est du moins ce qu'en a décidé le gouvernement chinois dès 1925 après l'abdication du dernier empreur. Les édifices datent du XVIIè siècle car la Cité Interdite a été restaurée de très nombreuses fois suite à des incendies qui se sont déclarées à l'intérieur de l'enceinte. Nous pénétrons par la port du midi qui était jadis exclusivement réservée à lusage exclusif de l'empreur.


Cité Interdite — Hall de l'Harmonie Suprême.
La porte du midi donne sur une immense cour pavée. Devant nous se tient le hall de l'harmonie suprème où l'empreur exerçait son pouvoir. C'est un grand moment : nous nous plongeons dans l'histoire des empreurs de Chine tout en flânant dans un lieu strictement préservé du commun des mortels il ya moins d'un siècle.


Jardin Impérial.
Au nord de la Cité Interdite, se trouve les quartiers privés où résidait l'empreur et sa famille. D'est en ouest s'étendent divers palais construits dans des espaces clos, demeures familiales où logeaient épouses, les concubines et leur enfants. Chacun vivant séparé dans ces palais indépendants possédant une cour ou un jardin.


Porte du Génie Militaire.
Nous sortons par la même porte par laquelle s'enfuit l'impératrice douairière Cixi en août 1900, tandis que les puissances étrangères envahissait Pékin.


More Beijing...


Marchons sur la Grande Muraille de Chine.
Depuis Beijing, plusieurs portions de l'édifice s'offrent aux touristes désireux de visiter l'ouvrage. Les principales zones, celles qui servent souvent pour les cartes postales et les brochures souffrent aujourd'hui d'un tourisme "à la chinoise", avec son lot de boutiques de souvenirs kitsch, ses téléphériques accélérant le flot des visiteurs et ses hauts parleurs cracheurs de musique et de "bruits de la nature". La portion que l'on nous propose de visiter, par le fait qu'il faille arpenter la muraille sur une montée incessante et rès abrupte, liées au fait que la muraille est construite à sommet de collines, limite le flux de touristes. Bien que la température frisait avec les 33°C, c'est dans une relative tranquillité que nous avons pu faire cette randonnée de 2 heures.


Sculpteur de Jade.
Notre visite se poursuit par une fabrique d'objet en Jade. Notre guide nous rappelle que l'amour du jade est une caractéristique de la société chinoise. Pourquoi a-t'il tant de valeur ? Tout d'abord à cause de sa rareté. Le jade vert ou blanc se trouve difficilement. Deuxièmement, la valeur du jade tient à sa dureté. Les jades les plus estimées sont les plus dures qui affiche une durété de 8 à 9 sur une échelle de 10 — la pierre la plus dure étant le diament.


Le Temple du Ciel.
Chaque année au momment du solstice d'été, les empreurs Ming et Qing se rendait au Temple du Ciel, en leur qualité de Fils du Ciel, pour y adresser des prières, se livrer à des sacrifices rituels destinées à attirer de bonnes récoltes. L'ensemble comprend plusieurs édifices au sein d'un grand parc. Le batiment principal, dont on retrouve la représentation un peu partout en Chine — et maintenant sur ce blog, ndlr— est le "Hall des Prières pour de Bonnes Récoltes". Cette appellation et sa forme actuelle datent en réalité de 1751, succédant à des édifices successifs érigés au même endroit, de conception architecturale et de nom ayant évolué depuis 1420. Ce bâtiment est érigé sur une structure à trois terrasses en marbre, circulaires et concentriques. Il présente lui aussi un plan circulaire, et trois toitures superposées en tuiles bleues émaillées ; sa structure est quant à elle en bois massif, constituée principalement de nombreuses colonnes et abritant un intérieur richement décoré.